Par Jacques Lesourne, mars 2006
1. Quel est l’effet à long terme de la technologie sur le taux de croissance et le volume d’emploi d’une économie avec peu d’échanges extérieurs ?
Deux définitions issues de l’application du premier modèle
Comment se présente le problème de la croissance ?
Comprendre les notions de main-d’œuvre, équipement et ressource naturelle
Sur la base de ce premier modèle, quelle réponse donner à la première question ?
Quel est l’effet de la technologie sur l’emploi ?
2. De ce point de vue, comment se situe la croissance française des quinze dernières années ?
Premier constat : le chômage stérilise le principal facteur de production
Deuxième constat : par rapport aux États-Unis, l’écart de croissance par tête est faible
Troisième constat : mauvaise performance due au taux d’emploi et au nombre d’heures
de travail individuel trop faibles
Au vu de ces chiffres, qu’est-il raisonnable de conclure ?
3. Qu’apporte à la compréhension des relations technologie-emploi-croissance la prise en compte des diversités sectorielles ?
Le chômage de convenance sociale
Le chômage classique
Le chômage keynésien
4. Comment interpréter les différences de niveau du chômage en France entre la période d’après-guerre et depuis trente ans ?
5. Comment intervient le commerce international dans les relations technologie-emploi- croissance ?
Comment caractériser l’influence de la technologie dans ce contexte ?
6. Que se passe-t-il lorsqu’au commerce international on superpose les mouvements de
capitaux ?
7. Qu’ajoute à ce phénomène l’internationalisation des firmes ?
Comment se situe la technologie par rapport à l’emploi et à la croissance ?
Quatre acteurs : petites et grandes entreprises, États et scientifiques
Relations complexes entre petites et grandes entreprises, États et scientifiques
Effets multiples en matière d’emploi
8. Comment et ou nait la technologie ?
9. Quelles conclusions générales tirer de l’analyse ?
10. Que signifient ces conclusions pour l’Union Européenne et pour la France ?
L’Union Européenne exploite mal les possibilités de croissance permises par la qualité de ses chercheurs et de ses ingénieurs
En France, impact de l’évolution démographique, du faible nombre d’heures travaillées par actif et du marché du travail